Quelle sérénité ! Les cordes chantent une douce berceuse, accompagnées des Ondes Martenot, un instrument de musique électronique inventé dans les années 1920, qui évoque des voix « venues d'ailleurs » un peu comme une scie musicale.
Égrenant quelques notes, le piano imite le chant d’un oiseau. Il est rejoint par la flûte et la clarinette seules, puis par le vibraphone, créant un décor expressif de gouttes d’eau et de pépiements.
Écrite pour un très grand orchestre, cette symphonie de Messiaen est une réflexion sur l’amour et sur la religion, deux thèmes chers au compositeur.
Ah Messiaen, quelle douce quiétude !
salut tous j'adore ce morceau !
5 maigabin